En 2015, la méthodologie d’analyse comparative de l’ITC, soit la première étape du programme AIM for Results, a aidé ces cinq IACI à identifier leurs marges d’amélioration :
- Direction Générale de Promotion de Secteur Privé de la Mauritanie
- Société kényane pour les technologies de l’information et la sous-traitance (KITOS)
- Chambre de Commerce de la Jamaïque
- Chambre de Commerce et d’Industrie de Dhaka (Bangladesh)
- Agence pour la Promotion des Exportations au Mali (APEX-Mali)
Il s’agissait notamment des domaines du développement de stratégies, la mesure et la gestion de la performance, la gouvernance et la capacité de mieux cibler les PME.
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Afin d’aider les IACI à rendre un meilleur service aux milieux d’affaires concernés, l’ITC a partagé le deuxième volet de sa démarche AIM for Results, soit la méthodologie relative aux Feuilles de Route pour l’Amélioration de la Performance (PIRM), avec les quatre organisations partenaires suivantes, avec l’objectif de mettre en place des plans d’amélioration complets et progressifs :
- Guichet unique Kirghiz
- Conseil du miel de la Zambie
- Export TT (Trinité-et-Tobago)
- ZNCCIA (Chambre Nationale de Commerce, d’Industrie et d’Agriculture de Zanzibar)
Six autres IACI, dont trois des Pays les moins développés (PMD), ont bénéficié des ateliers régionaux et des services consultatifs personnalisés de l’ITC, qui ont contribué à améliorer leur performance dans les domaines de l’évaluation des résultats, la conception des stratégies, la gestion des clients, ou encore la gestion de la performance. Il s’agit des Institutions suivantes :
- Association des services informatiques du Bangladesh (BASIS)
- ZimTrade (Zimbabwe)
- Agence de Développement des Petites Entreprises (SEDA) en Afrique du Sud
- Conseil ougandais de promotion des exportations (UEPB)
- Agence de développement de la Zambie (ZDA)
- Centre des investissements et du commerce du Botswana (BITC)
D’une part, l’ITC a développé un corpus de bonnes pratiques donnant accès à des dizaines d’études de cas pertinentes ; d’autre part, il a enrichi son portail d’analyses comparatives avec des outils qui permettent au personnel des IACI de comparer leur performance organisationnelle avec les bonnes pratiques générales.